D'autre vies que la mienne, la tragédie de la mort !
Carrère décrit dans son récit ; les détails de la mort, la souffrance et la perte d'un cher à travers deux événements les plus tragiques au monde qui lui font peur : c'est la mort soudaine d'une petite fille pour ses parents, et la mort progressive et attendue d'une jeune femme pour ses enfants, son mari et ses parents.
Le premier tiers du livre se passe à Sri Lanka où l'écrivain passait ses vacances avec sa famille et se rendait témoin de Tsunami, la catastrophe naturelle qui s'est abattue sur les côtes de l'Asie. Cet événement lui a permis de vivre de très près la souffrance d'une famille qui a perdu son enfant en un clin d'œil au moment où elle jouait à la plage sous la surveillance de son grand-papa, et lui a fait témoigner l'angoisse et l'errance d'une jeune femme récemment mariée dont l'âme a été extirpée lorsqu'elle a appris la disparition de son mari dans la vague, sans qu'elle ne soit sûre s'il est mort ou pas, faute de l'absence de son corps.
Les deux tiers du roman qui restent, étaient consacrés pour raconter l'histoire de sa belle-sœur Juliette, jeune juge et maman de trois petites filles, dont la vie s'éteignait peu à peu tout en vivant avec la souffrance physique et psychique qui accompagne une maladie inguérissable comme son cancer. La narration avec détails et précision, émanait d'Étienne, l'ami proche de Juliette, de son mari Patrick et dans quelques passages par ses parents.
Le premier tiers du livre se passe à Sri Lanka où l'écrivain passait ses vacances avec sa famille et se rendait témoin de Tsunami, la catastrophe naturelle qui s'est abattue sur les côtes de l'Asie. Cet événement lui a permis de vivre de très près la souffrance d'une famille qui a perdu son enfant en un clin d'œil au moment où elle jouait à la plage sous la surveillance de son grand-papa, et lui a fait témoigner l'angoisse et l'errance d'une jeune femme récemment mariée dont l'âme a été extirpée lorsqu'elle a appris la disparition de son mari dans la vague, sans qu'elle ne soit sûre s'il est mort ou pas, faute de l'absence de son corps.
Les deux tiers du roman qui restent, étaient consacrés pour raconter l'histoire de sa belle-sœur Juliette, jeune juge et maman de trois petites filles, dont la vie s'éteignait peu à peu tout en vivant avec la souffrance physique et psychique qui accompagne une maladie inguérissable comme son cancer. La narration avec détails et précision, émanait d'Étienne, l'ami proche de Juliette, de son mari Patrick et dans quelques passages par ses parents.
D'autre vies que la mienne, le roman qui m'a agacé !
Un livre très dur et brusque dès la première page jusqu'au dernier mot. Décrire la souffrance que vit les personnages et surtout, demander les témoignages du mari et des parents sur leur défunte pour un travail littéraire, était comme le fait de continuer à creuser une plaie qui ne se cicatrisera jamais et d'immortaliser, de graver leur peine sur les pages de son livre. Par contre, savoir provoquer un tel chagrin auprès de ses lecteurs et de toucher à fond leurs sentiments n'est pas donné à tout le monde, cette spéciale faculté révèle le génie de cet écrivain.
J'ai lu un peu partout que les lecteurs se plaignent de l'égocentrisme abondant dans le récit, personnellement je le considère comme un élément à valeur ajoutée à la lecture, personne ne peut nier qu’en chacun de nous, il y a un égoïste caché, cet auteur m'a vraiment impressionné par la façon dont il dévoile son ressenti sans qu'il n'ait honte d'exprimer ses points faibles et ses défauts.
D'un autre part, les longues informations juridiques détaillés m'ont vraiment gêné, je me suis trouvée incapable de continuer la lecture à un certain moment et j'étais à deux doigts d'abandonner la lecture. Or, cela peut intéresser des gens qui ont une affinité vers les grands problèmes du Droit, tel que le surendettement.
J'ai lu un peu partout que les lecteurs se plaignent de l'égocentrisme abondant dans le récit, personnellement je le considère comme un élément à valeur ajoutée à la lecture, personne ne peut nier qu’en chacun de nous, il y a un égoïste caché, cet auteur m'a vraiment impressionné par la façon dont il dévoile son ressenti sans qu'il n'ait honte d'exprimer ses points faibles et ses défauts.
D'un autre part, les longues informations juridiques détaillés m'ont vraiment gêné, je me suis trouvée incapable de continuer la lecture à un certain moment et j'étais à deux doigts d'abandonner la lecture. Or, cela peut intéresser des gens qui ont une affinité vers les grands problèmes du Droit, tel que le surendettement.
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